C’est le moment de se mettre en condition pour affronter les longs mois de frimas ! Les ennemis de notre santé sont multiples, en cette saison, d’autant plus que la fatigue ou le manque de luminosité, mettent à mal nos défenses immunitaires… Mais pas question de se laisser abattre, des solutions naturelles existent pour passer la saison froide au top de sa forme…
Par Thomas KASSAB
La phytothérapie immunostimulante
Certaines plantes peuvent donner un vrai coup de fouet à votre organisme. Pour n’en citer que quelques-unes, les racines d’échinacée, par exemple, orchestrent vos défenses immunitaires en stimulant la production d’anticorps et de globules blancs. On les retrouve dans des compléments alimentaires que l’on prendra de préférence deux fois par jour, matin et soir, en cure d’un mois. Une autre plante phare est le cyprès qui possède des actions antivirales et limite l’infection des cellules par des virus. Sous forme d’extrait, et souvent associé d’ailleurs à l’échinacée, on peut l’utiliser en cures, à raison de dix jours par mois, tout au long de la saison hivernale. Enfin, on peut retenir aussi le ganoderma. Ce champignon, aussi appelé reishi, booste également votre immunité. On l’utilise traditionnellement sous forme de cures discontinues, un mois sur deux, jusqu’à l’arrivée des beaux jours.
Des oligoéléments pour affronter le froid
Comme l’or, le cuivre ou l’argent, ils nous aident à lutter contre les coups de mou au coeur de l’hiver. Ces minéraux, présents dans le corps en infime quantité, jouent un rôle de catalyseur, un peu à l’image d’une étincelle qui démarre un moteur. Ils favorisent, de la sorte, des réactions organiques nécessaires pour une immunité au top. Par exemple, l’or stimule l’action des globules blancs et le cuivre, tout comme le soufre, possède des vertus antibactériennes et antivirales notamment au niveau ORL. La combinaison gagnante ? Le trio cuivre, or et argent et sa vertu immunostimulante globale, qu’il est conseillé de prendre en sublinguale [sous la langue], à raison d’une à deux fois par jour, en cure de dix à quinze jours par mois. […]
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