Édito GM 30 : Les pompiers, tout un mythe !

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En première ligne depuis plus d’un an, les pompiers contribuent à la lutte contre la covid-19. Sans étonnement donc, nous leur consacrons des pages, faites de fantasmes, d’histoires et d’actualité. Car, il nous était donc impossible de faire la passe sur ce sujet dans cet édito.

Crédit photo : Pexels

Édito : 

Chers lecteurs, chers amis, chers abonnés, 

Pour ce numéro 30 daté d’avril-mai, nous vous avons concocté un numéro autour des pompiers. 

Peu importe son âge, son type d’homme et ses préférences sexuelles, le fantasme du pompier semble traverser les époques et être partagé par le plus grand nombre. Il est le seul à vous pousser un 14 juillet à boire de la mauvaise bière tiède dans un gobelet en plastique, et à danser sous des guirlandes guinguettes aux fameux bals des pompiers. 

Certes, le pompier est l’homme qui éteint le feu. Quel qu’il soit… Mais évitons les interprétations trop faciles et commençons par le commencement : l’uniforme. Sans trop de surprise, celui des pompiers a toujours fait son petit effet. La tenue de travail, qui identifie l’individu, est indispensable pour activer les neurones et alimenter le fantasme. Mais tous les costumes ne se valent pas. Jusqu’à preuve du contraire, nos hormones s’affolent moins devant la veste double poche du facteur. C’est bien le prestige qui fait mouche, et plus encore, la forme d’autorité de ses hommes sur lesquels on fantasme et à qui l’on confie son corps. L’infirmière soigne, le militaire défend, le pompier sauve…

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Le foisonnement de calendriers atteste aussi de cet engouement depuis de nombreuses années ! 

Un merci tout particulier à notre photographe Tom Saint Clair et son modèle le beau Kenzo pour cette couverture en tenue de pompier. 

Nous vous proposons comme dans chaque numéro plus de 40 articles et je termine cet édito sur les six portraits Rainbow qui mettent en avant des politiques engagés pour notre communauté. 

Très bonne lecture à tous et notez que nous repassons à une publication tous les deux mois dès ce numéro. Les temps restent durs, mais nous tenons le cap grâce à vous ! 

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