Mickael est analyste financier à Paris. Pendant ses moments de repos, il prend soin de lui et de son conjoint. Tantôt devant la télévision, plongé dans un livre ou en plein exercice sportif, le jeune homme a l’âme d’un passionné dans tout ce qu’il fait.
Investi en tous points ! Derrière un sourire radieux, Mickael a une grande confiance en lui et en ce qu’il fait. Pour cette raison, le sport et les épreuves de la vie lui ont permis d’accepter qui il est, physiquement et mentalement. “A une époque où j’étais très mince, j’ai intégré une école militaire. Il y avait une vraie culture du sport à laquelle j’ai tout de suite adhéré.”, confie-t-il.
Dès lors, il construit son corps à son image et celles de ses inspirations, celles des nus masculins tout droit sortis des tableaux de la Rome Antique. “Sans chercher à être un bodybuilder, j’ai aujourd’hui le corps que je veux, de forme athlétique, et me sens bien dans ma peau. J’en suis content car c’est vers ce style que je voulais me rapprocher.”, exprime-t-il. De cette confiance à toute épreuve, il s’efforce d’atteindre chaque objectif qu’il se fixe, chaque projet qu’il débute, dans la vie personnelle, le travail et le sport.
La photo, une confirmation
Consécration de ses années de travail sur son physique, Mickael a attiré le regard du photographe professionnel, Fred Goudon. Sans hésiter une seconde, il collabore avec l’artiste, ce qui est un moyen de confirmer la confiance qu’il a en son corps. “Les efforts que j’avais faits à travers le sport pour me construire un corps et me sentir bien dans ma peau allaient se refléter à travers son regard.”, explique-t-il à propos de ce partenariat exceptionnel. Aujourd’hui, il pourrait réitérer cette expérience “si des photographes s’intéressent à moi en termes de physionomie pour une collaboration”. Magnifique !
A lire aussi : Gary, un homme fidèle à lui-même
Au travers de ses publications sur Facebook et Instagram, Mickael véhicule des messages de bienveillance à destination de sa communauté. C’est pour lui une manière de se poser en modèle d’inspiration et en conseiller là où il a dû se prendre en main seul et par ses propres moyens. “J’aurais bien aimé que des personnes m’inspirent à un moment donné sur les réseaux pour me motiver à me lancer dans le sport plus tôt. J’ai toujours repoussé mes projets parce que je ne m’en sentais pas capable, et n’avais pas confiance dans le physique que j’avais, mais aussi dans ma personnalité, trop effacée.”, souligne le jeune homme. En ce sens, il amène les personnes à avoir confiance en eux et à s’épanouir. Car, “l’épanouissement personnel, c’est important si on veut vivre heureux”.
Le message de Mickael aux lecteurs de Garçon Magazine : Si vous voulez de la positive attitude au quotidien, n’hésitez pas à me suivre. Je partage des stories, des photos et des messages pour égayer votre quotidien.
Questions express à Mickael :
Votre journée-type ?
Je me lève à 6h-6h30, je me prépare rapidement pour aller à la salle de sport (en dehors de la période covid, évidemment). Ensuite, je rentre me changer, je vais travailler.
Je rentre de mon travail vers 19h. Je me détends avec une série sur Netflix ou en lisant un roman posé sur ma table de chevet et que j’ai envie d’avancer. Puis, je passe le reste de ma soirée avec mon petit homme.
Un élément qui vous démarque ?
Mon sourire. J’ai la positive attitude. A chaque occasion, j’essaie de voir le verre à moitié plein, d’encourager tout le monde. C’est ce qui fait que je suis souriant et que les gens l’apprécient au quotidien.
Votre passe-temps favori ?
Mon homme, sans hésitation. Après oui, le c’est le sport, afin de rentrer dans une routine, et de me sentir bien.
La crise sanitaire complique-t-elle votre vie ?
Pas vraiment. J’ai la chance d’être en couple et d’avoir une petite bulle sociale. J’ai aussi pu changer de travail pendant cette crise, ce qui est inespéré. Ça n’a pas été la pire pour moi.
Dans dix ans, comment vous voyez-vous ?
J’aurai peut-être acheté une maison avec mon homme, toujours à Paris et j’aurai toujours les mêmes amis.