Sur le web, Stars Masculines Nues déshabille, en vrai comme en faux, les personnalités célèbres du monde entier. De Brad Pitt à Félix Maritaud, tous les hommes passent dans le radar à nudes (et à dickpics) d’un couple gay, celui liant Jérôme à Nicolas. Le résultat donne une véritable envolée en direction de la terre des fantasmes. À l’approche de l’anniversaire du site, les administrateurs reviennent sur leurs folles et sulfureuses aventures.
Quelle est l’histoire derrière Stars masculines nues ?
Nicolas : À l’époque, Jérôme, tout juste adulte, fantasmait en voyant Brad Pitt nu, dans ses plaisirs solitaires (sur le web). Lassé des photos montages nullissimes en 2002, il a décidé de répertorier des images vraies, issues de films ou de magazines.
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Lors de l’apogée du site, nos partenaires nous ont permis d’assister à de célèbres événements gays. Nous n’en gardons que de bons souvenirs.
N’y a-t-il eu que ça ?
Nicolas : Non, et heureusement. Certaines personnalités, que nous ne citerons pas (rires), nous ont effectivement déjà invités à des soirées privées, en pleine mer ou même chez eux. Pendant cette période, elles nous ont vendu du rêve pour notre marque Izi’Boy, en nous disant : « Venez à la maison, nous allons en discuter, j’ai des contacts, je peux vous faire connaître… » Finalement, nous avons juste fait la fête, rien de plus.
Revenons-en à votre plateforme. Les contenus que vous partagez répondent-ils à vos propres fantasmes ou à ceux de votre public ?
Jérôme : Les deux. On peut évidemment se souvenir de la dickpic de Chris Evans que tout gay aimerait bien se taper (seul ou avec son partenaire, Rires) que nous avons arrangée en couleur (pour mon petit plaisir) ! Le public est demandeur des personnalités célèbres de films récents et de séries, notamment Élite, Hollywood, Little pretty things, etc.
Nicolas : Ayant couru après les clichés de stars, j’ai eu l’occasion d’en rencontrer une panoplie en vrai. De ce fait, j’avoue que certains posaient la main sur les fesses pour la photo, mais de façon bien… Insistante. Le must, c’était quand j’étais serveur dans un restaurant de luxe à Bruxelles. Certains clients me laissaient leur numéro de téléphone sur la serviette de table, lorsqu’ils partaient… C’était assez chaud !
Retrouvez la suite de l’interview autour du ce site web dans le nouveau numéro de Garçon Magazine disponible ici.