Comme chaque semaine, nous mettons en avant un court-métrage gay. En conséquence, après Just ask him, le tout dernier métrage traité, on vous présente Marco, récit d’une romance magnifique entre deux hommes que tout oppose et qui connait un éternel recommencement.
Le pitch de Marco
Ce court-métrage gay suit les folles aventures d’un chef d’entreprise et un demandeur d’asile, toutes aussi sulfureuses les unes que les autres. Au départ d’un échange anecdotique, la rencontre physique se fait intime et assez professionnelle, avec un massage des pieds. Dès lors, une romance s’installe au sein du logis, les sentiments naissent et grandissent au fil des heures et des jours. Cela va-t-il amener une relation sérieuse entre eux ou, au contraire, son lot de failles personnelles ?
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Pourquoi apprécie-t-on ce film ?
Marco prouve que, peu importe le milieu social, l’écart culturel, la distance (spirituellement) géographique, n’a pas raison de l’amour. En effet, d’un massage, les baisers prennent place, ainsi que les gestes d’attention, le contact entre les corps et bien d’autres choses encore. C’est là toute la magie dans ses plus belles images. Et cela, dans un appartement déconnecté de la vie en société, fantastique, merveilleuse et incroyable. En somme, c’est ce qu’on rêve tous dans notre rapport sexuel et sentimental avec un de nos pairs.
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Focus sur une scène : l’éternel recommencement
Alors que le jeune demandeur d’asile commet une erreur irréparable, il doit quitter le logis qu’il a eu tant de mal à adopter, de même que l’homme qu’il rêvait depuis toujours. Dans l’ascenseur, il est en proie à une profonde tristesse, liée à ce départ précipité et à cet éloignement obligé de l’être qu’il aime plus que tout. Pourtant, une dernière espérance vient rapidement tout changer, ce qui lui permet de remonter. Devant une porte, il toque, cette dernière s’ouvre vite. L’être tant désiré refait surface, l’idylle peut enfin reprendre !
Qu’avez-vous pensé de ce court-métrage gay, Marco ? Est-ce votre préféré ?