the love star

The Love Star présente ses deux nouveaux titres !

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La diva-divine-blonde de Chicago, avec ces 2 nouveaux titres, met la touche finale à son album «Midnight Rainbow». Dans « Lips », une balade susurrée sensuelle, The Lost Star invite à prendre non pas le taureau par les cornes mais le désir par la chair, le baiser par les lèvres. «When you kiss my lips…»

THE LOST STAR qui sera en SHOWCASE LE JEUDI 24/11 À 10H

AU CINÉMA LE LINCOLN – 14 RUE LINCOLN 75008 PARIS
Nous offrons 20 invitations aux lecteurs du magazine
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En érotisme, nous ditl’artiste, il n’y a que des faits… les gestes valent mieux qu’un long discours «Parlons avec ces doux baisers». « Money Tree » … ce disco tonique (dont on célèbre partout le retour ) est un vrai clin d’oeil au second degré, hors des conventions.

Humour, fun et fric, The Lost Star s’amuse à célébrer les vertus de l’argent comme agent aphrodisiaque.

« Money grows on trees», Credit card, erotic… Spend money… on me honey Wine me… dine me … tonight…» Ca choque ? Tant mieux, tant pis, let’s dance !

Poétesse, The Lost Star signe tous les textes. Artiste complète, elle ose toutes les couleurs musicales, tous les styles, même le rap. L’album flamboyant, singulier est à son image : un électron libre dans le paysage artistique actuel.

Et la démonstration de son credo : l’hyperféminité est la force qui mène la danse! Luxueuse insolente, anti-conformiste, ludique jusqu’au bout de ses ongles manucurés, The Lost Star déchire le voile des clichés de la femme-objet blonde lisse et glamour pour s’afficher en femme libre, sexuée, paradoxale. Inattendue. Naked

Hearts, I am, Habibi et Liberté, des titres qui pourraient devenir iconiques selon notre équipe.

« Midnight Rainbow », le titre-phare qui donne son nom au nouvel opus de The Lost Star donne le ton : un voyage tout en couleurs musicales, poétiques et instants magiques, l’apanage des poètes qui à l’impossible ne sont jamais tenus. « Catch a rainbow, midnight rainbow… »

Cet arc-en-ciel féérique sur lequel nous fait danser l’artiste est celui du désir, l’ouragan qui aplatit tous les improbables. L’instant d’une nuit, il permet tout, abolit tout, même les distances géographiques ou sociales. Impossible de l’acheter ou de le voler : par sa puissance, il est du domaine des dieux. « There’s no love without fire, Don’t play with the flame.” Tout un programme.

Réalisé par le génial compositeur Amadéo celui-ci a su parfaitement sublimer le goût « caliente » de la Star pour la sensualité des musiques orientales et latines. Frémissements, ondulations et autres invitations à l’abandon des corps, cet album est un voyage longue distance guidé par le fil rouge que nous tend l’artiste: l’Amour avec un grand A.

Sensuel, spirituel, initiatique, romantique. Oui, carrément. Shéhérazade, l’odalisque, fatale, tentatrice, c’est elle.

Ecoutez « Mon Pacha » (seul titre en français).

Je suis une blonde impénitente, Avec les sept voiles je danse

Pour l’envoûter dans une transe, Pour faire durer nos plaisirs

Je devine tous ses désirs

Mon pacha m’aime, Je m’fais belle pour lui

Je porte des talons aiguilles…

Mais ne vous y trompez pas, la soumission ne dure que le temps du jeu de l’érotisme… « Sois belle et tais-toi », l’injonction du charme à la française qu’elle a détestée en débarquant à Paris dans le milieu de la mode, c’est surtout pas elle ! Sans honte ni détours, à la première personne, The Lost Star chante comme Juliette Greco la sexualité joyeuse au-dessus des conventions et ses héroïnes sont les femmes transgressives.

De sa voix rayonnante, suave, The Lost Star sait aussi bien faire vibrer l’autre et sécréter l’ocytocine, l’hormone de la libido, tous sexes confondus, qu’insuffler le souffle de la liberté, du bonheur d’être soi, d’atteindre ses rêves les plus fous, de se fier à son intuition, son « female gaze »…

La petite fille timide de Chicago qui étudiait le piano, chantait seule devant sa glace s’émerveille encore d’avoir atteint son rêve : « je voulais être sur scène et maintenant, je le fais ! »

Retrouvez la sur Youtube: The Lost Star et sur Instagram : theloststar.paris

© Photo : Franck Glenisson