Organiser une partouze gay, tout un art

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Chez les gays, la partouze est un véritable challenge et demande beaucoup de préparation. Ainsi, le nombre de personnes, le lieu, les modalités d’organisation, le temps et la performance sont d’autant de facteurs qu’il vous faut prendre en compte. Pour ces raisons, on vous donne la recette pour qu’elle soit la meilleure. 

Où ? 

Le lieu de la partouze gay est primordial, privé ou public. Il est nécessaire de prendre en compte la logistique intérieure (ou extérieure). Par exemple, dans une maison ou un appartement, nous vous conseillons de mettre à disposition deux pièces (au minimum) pour la bonne réalisation de l’orgie, qu’elle soit taille S ou XXL. Si elle a lieu dans un établissement (sauna, cruising, sexclub, discothèque, bar-boite, etc.), il est indispensable d’utiliser la plus grande d’entre-elle pour accueillir le plus de participants possible. De même, pensez à demander si un vestiaire, un espace boisson/nourriture et des lieux pour l’hygiène (W.C, douche).

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Qui ?

Selon que vous organisez une partouze gay chez vous ou dans un espace festif, il est nécessaire d’avoir un réseau de contacts conséquent (amis, collègues, connaissances). Le cas échéant, pensez à lancer un casting sous la forme d’un appel à témoins, via un site web dédié à cet événement spécifique, ou avec une annonce sur des médias LGBTQI+. De plus, si vous n’êtes pas sûr des performances sexuelles d’un candidat, parlez-en avec lui pour avoir la réponse. Demandez-lui aussi des photos et vidéos afin d’être rassuré. Enfin, ayez le bon nombre d’actifs et de passifs (parfois même plus que l’estimation initiale, pour pallier les éventuels désistements de dernière minute) pour que l’orgie se déroule en bonne et due forme. Un petit conseil : une bonne partouze a toujours plus d’actifs que de passifs.

Crédit photo : Frenchtwinks

Comment ?

C’est vous le maître de la partouze gay. Dès lors, établissez des règles pour qu’elle se passe bien. En ce sens, vous devez fixer les limites à ne pas dépasser, si vous acceptez ou non les plans chemsex ou bien au recours à la torture. Ainsi, les pratiques sexuelles, le tournage, le matériel mis à disposition (ou amené), la température ambiante, l’éclairage et la sonorisation sont autant de facteurs et modalités à prendre en compte. Enfin, il est nécessaire de penser à l’après-orgie, en tirant notamment le meilleur de l’event pour en organiser un prochain, encore plus beau. De même, demandez les numéros des participants qui se sont bien présentés afin de les solliciter une nouvelle fois.

Retrouvez la suite du mini-dossier sur la partouze gay dans le nouveau numéro de Garçon Magazine disponible ici.

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