Depuis plus de 20 ans, L’association Stéphane Lamart défend ardemment les droits des animaux. En cette année particulière, l’activiste projette une viabilité de son organisation sur le long terme. Il lance un appel à ses donateurs pour qu’ils l’accompagnent dans cette ambition.

Être pérenne !
Moteur de son fonctionnement, l’association Stéphane Lamart met en place des appels à contributions, chaque année, dans la défense du droit animal. Ces derniers se présentent généralement sous formes de dons, adhésions, legs et assurances-vie. Tout cela, comme le souligne Stéphane Lamart, “grâce à la générosité du public, des lecteurs [de garçon magazine ndlr] et des donateurs réguliers”. En conséquence, l’activiste en appelle une nouvelle fois à la communauté pour qu’ils puissent poursuivre toutes leurs actions. “On court toujours après l’argent pour financer des sauvetages d’animaux et pour les soigner et les nourrir, mais aussi pour entretenir et rénover les refuges.”, confie-t-il, précisant que les frais vétérinaires coûtent particulièrement chers. “[Donc], si la cause animale vous tient à cœur, vous pouvez faire des dons à une association comme la nôtre.”, exprime Stéphane Lamart. Alors, faites un geste, même minime.
Longues années, grandes initiatives
En plus de 20 ans d’engagement pour la cause animale, Stéphane Lamart a fait tout son possible pour sauver le plus nombre d’animaux possibles et leur éviter un sort tragique. Comme il le rappelle, “100 000 chiens et chats sont [en effet] abandonnés et tués en toute impunité, chaque année”. Pour cette raison, le militant est sur tous les terrains, aux procès et dans les chambres politiques, les lieux de maltraitances, prenant parfois même des risques. “Une fois, une personne s’est jetée sur moi et m’a étranglé. Elle a même lâché ses chiens agressifs pour m’attaquer.”, se souvient-t-il, lors d’un déplacement dans un refuge.
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Parallèlement à cela, Stéphane Lamart s’implique dans la mise en place de structures pour que les animaux puissent vivre librement jusqu’à la fin. En conséquence, l’activiste a permis la création de propriétés dans l’Ardèche et la Bretagne ainsi que des refuges en Normandie.