Yan

Yan, un homme qui sait se montrer

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Coach en développement personnel de formation, modèle-photo par passion… Tel un livre ouvert, Yan dévoile sans filtre sa vie dans tout ce qu’elle a de plus belle et de plus complexe. Un attrait qui lui a permis d’attirer l’attention de photographes émérites, parmi lesquels notamment Frédéric Motte, Pakal Ameyal et Tom Saint-Clair.

Derrière ce physique parfait, tout droit sorti des salles de sport, se cache une personnalité complexe et une blessure d’enfance en Yan. “Après l’accident de voiture de ma sœur, je me suis senti délaissé par mes parents. Recherchant l’attention que je n’avais pas, j’ai longtemps appelé les personnes autour de moi à l’aide.”, confie-t-il à propos de cette triste période. Pourtant, cette démarche ne suffit pas à combler le vide qu’a entraîné ce sentiment d’abandon familial. Alors, quand il atteint l’âge de raison, le jeune homme trouve dans le sport un moyen d’être heureux et épanoui, de s’accomplir et de se construire une carapace aussi.

La photo, miroir de son “moi”

Lorsqu’il se lance officiellement dans la photographie, en 2020, il continue à entretenir ces aspects qui attirent son public, à savoir son physique et sa personnalité, se montre de plus en plus. “Les personnes [ont le droit de voir mon corps] de la manière dont ils ont envie de le voir. Après, s’ils ont envie de savoir pourquoi [je me montre autant], ils peuvent venir me le demander.”, précise-t-il. En ce sens, la photo est, pour Yan, un moyen de montrer que l’introspection qu’il a fait sur lui (grâce notamment au sport) a porté ses fruits. 

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Qu’à cela ne tienne (aux personnes voyant en lui la perfection masculine), Yan ne se sent “jamais autant accompli la veille que le lendemain”. “Je suis un éternel insatisfait. Je sais très bien qu’on peut toujours faire mieux, demain sera toujours un autre jour où on pourra faire autre chose, rencontrer d’autres personnes.”, affirme-t-il, concédant toutefois qu’il est bien plus accompli qu’il y a quelques années. Prouvant qu’il le sera encore plus dans un futur proche, le jeune homme continue à se réaliser, tant dans son projet professionnel que dans ses collaborations artistiques. “La pandémie ne m’a empêché de [saisir des opportunités], ça les a même renforcées.”, conclut-il. 

Décryptage express de Yan : 

Sa journée-type ? Je me réveille tôt, je prends un petit-déjeuner de champion et je fais ma séance de sport (yoga, stretching). Ensuite, je me penche sur mes cours de formation et prépare mes sessions de coaching en accompagnement neurolinguistique. L’après-midi, je pars à mes rendez-vous coaching et photo. Le reste de la journée, je vois mes amis dès que c’est possible, je lis aussi.

Un élément de démarcation ? J’ai un téton plus bas que l’autre. Sur le plan mental, je prends soin des autres. 

Neige ou soleil ? Neige. Je fonds comme neige au soleil, transpire beaucoup et vite, ce qui n’est pas très agréable. Je préfère donc être au frais et entreprendre des activités qui y sont liées. 

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Ses passe-temps favoris ? Lecture et sport

Sa vie dans 10 ans ? Rester dans la même région, je suis père de famille, avoir acquis une vraie garde alternée, avoir développé mon réseau au-delà de la Gironde. 

Son message aux lecteurs de Garçon Magazine ? Soyez vous-même, respectez les autres et la vie des autres.

Plus d’infos : 

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