Avez-vous déjà entendu parler du sexe en AirDrop ? C’est une pratique qui consiste à envoyer tout type de contenu à courte distance avec un téléphone. Et, Aurel’, jeune gay de 25 ans originaire de Rennes, a recours à cette pratique. À peine a-t-il eu son tout premier iPhone en 2012 qu’il a commencé à envoyer ses premiers clichés HOT via cette fonction en attendant le métro. Neuf ans plus tard, le natif breton reste un grand adepte de cette fonctionnalité. Il nous raconte.
Aurel’, qu’avez-vous ressenti lorsque vous avez envoyé votre première photo sexe en air drop ?
J’étais tout excité pour ne pas vous mentir. Braver l’interdit, ce n’est pas anodin, mais dans le même, il y a une telle montée d’adrénaline dans cette situation. Et, à ce moment précis (j’avais 16 ans), j’ai connu cette sensation.
Concrètement, j’attendais le métro à la station du général de Gaulle. La veille au soir, j’avais pris un cliché de mon pénis pour mon propre plaisir. Le lendemain, j’ai pensé : pourquoi ne pas l’envoyer à la première personne dont le modèle IPhone s’affichait dans la liste des appareils ?
Que s’est-il passé ensuite ?
Eh bien, figurez-vous que, sans que je m’y attende, le destinataire était un mec (et gay en plus). Peu de temps après, il a écrit son numéro de téléphone sur sa main, qu’il a pris en photo pour me la transmettre, via le moyen que j’avais utilisé pour l’image de ma verge.
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Dès que je l’ai reçu, nous avons alors échangé par SMS. En fin de journée, il m’a invité dans un lieu peu fréquenté de la ville et nous avons fait tout de suite l’amour.
Depuis cet instant, recourez-vous souvent à cette fonctionnalité pour ça ?
Tout le temps, oui. Pour être honnête, je chope la majorité de mes plans dans les bouches de métro. Je n’ai pas le nombre précis en tête, mais je dirai que j’ai passé la barre des cent mecs.
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